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Orlando Bloom et le Hobbit 2 continuent de cartonner au box-office US

2013-12-25T11:13:00+01:00

A l'issue de sa deuxième semaine d'exploitation, le Hobbit 2 : la désolation de Smaug reste en tête du box-office US en cumulant 127,5 millions de dollars de recettes.

Orlando Bloom et son arc d'elfe ont percé le cœur de millions de spectateurs américains. Voir le sex-symbol anglais en collant attire toujours autant les foules comme le démontrent les premiers chiffres du Hobbit 2 : la désolation de Smaug. Pour la deuxième semaine consécutive, la deuxième trilogie de Peter Jackson après celle du Seigneur des Anneaux continuent à affoler les compteurs dans les cinémas américains.

Des chiffres très encourageants

Certes, deux fois moins de monde est allé le voir mais avec 31,4 millions de dollars de recettes, la suite des aventures du Hobbit s'est emparée de la première place du box-office US. Elle devance le film d'humour Légendes vivantes avec Will Ferrel et Paul Rudd et le dessin animé de Disney, La Reine des neiges. Au total, le film avec Orlando Bloom ou encore Evangeline Lilly, vue dans la série Lost, a cumulé 127,5 millions d'euros de recette soit quasiment la moitié du premier volet en fin de carrière.

Deuxième meilleur démarrage de l'année en France

La Hobbit mania bat son plein aux quatre coins de la planète avec 276,3 millions de dollars recettes. Le tiroir-caisse de Peter Jackson s'en frotte les mains. En France, le réalisateur de King Kong a pu voir que les fans suivaient le mouvement avec 1,6 millions de spectateurs pour sa première semaine et une première place au box-office tricolore. C'est même le deuxième meilleur démarrage de l'année derrière Iron Man3.

Source : Plurielles.fr

Orlando Bloom n'a pas lu les romans de Tolkien

2013-12-05T20:11:00+01:00

Interviewé sur la télé américaine par Jimmy Kimmel mardi soir, l'acteur Orlando Bloom, qui incarne l'elfe Legolas dans la trilogie du Seigneur des Anneaux et Le Hobbit a reconnu n'avoir jamais lu le livre. Tollé général. Pourtant, il n'est pas le seul dans ce cas.

Voilà une nouvelle qui risque de lui attirer l'ire des fans de la mythologie des Terres du milieu créées par Tolkien. Alors qu'il incarne Legolas, l'un des membres de La Communauté de l'Anneau qui apparaît dans chacun des films de la trilogie du Seigneur... et dès le deuxième épisode du Hobbit, Orlando Bloom a reconnu n'avoir jamais lu le livre qui a inspiré la saga.

Interrogé par Jimmy Kimmel mardi soir sur le plateau du Live Show, l'acteur a reconnu avoir eu d'autres préoccupations.

"J'avais lu Le Hobbit quand j'étais enfant a-t-il avoué. J'ai lu Le Seigneur des anneaux jusqu'à la moitié...mais les filles étaient plus intéressantes".

Un sacrilège pour les Tolkienophiles, alors que son personnage a été rajouté au casting du Hobbit. Mais était-il le seul dans ce cas? Parmi ces six acteurs majeurs de la trilogie originelle, saurez-vous retrouver lesquels ont lu le livre, et lesquels ont dû filer chez leur libraire pour se mettre à la page?

Elijah Wood (Frodon Sacquet)

NON. Le porteur de l'Anneau de pouvoir ne connaissait pas la fin de l'histoire. Tout comme son compère aux oreilles pointues, il a lu Le Hobbit lorsqu'il était enfant, mais n'a jamais poussé ses lectures.

Billy Boyd (Peregrin "Pippin" Touque)

OUI. Il a lu le livre étant ado, et a même tenté le casting pour jouer Frodon. Il a finalement été retenu sous les traits de l'espiègle hobbit.

Ian Holm (Bilbon Sacquet)

OUI. Le premier possesseur de l'anneau a aussi déjà participé à une précédente adaptation du roman. Il a joué le rôle de Frodon dans la production radio signée par la BBC en 1981.

Viggo Mortensen (Aragorn)

NON. Le roi du Gondor n'avait pas lu le livre lorsque Peter Jackson lui a proposé le rôle. C'est son fils, grand fan de l’œuvre de Tolkien, qui l'a convaincu d'accepter.

Ian McKellen (Gandalf le gris, puis Gandalf le blanc)

NON. Élément central dans les deux trilogies, Ian McKellen n'avait jamais lu les romans. Il s'est cependant laissé convaincre par l'enthousiasme de Peter Jackson.

Christopher Lee (Saroumane)

OUI. Le magicien blanc est un grand fan de la trilogie, qu'il relit chaque année. Il a même eu le privilège d'en rencontrer l'auteur. Il auditionna pour le rôle de Gandalf, mais se révéla plus qu'enthousiaste à l'idée d'en jouer la contrepartie maléfique.

Source : L'Express

Première du film Le Hobbit: La Désolation de Smaug

2013-12-03T20:11:00+01:00

Hier soir, dans l'enceinte du prestigieux Dolby Theatre de Los Angeles, s'est tenue la grande avant-première du Hobbit : la désolation de Smaug, deuxième volet de la trilogie de Bilbo le Hobbit, prequel de la Trilogie du Seigneur des Anneaux toujours mise en scène par Peter Jackson. (Voir la galerie photo).

Pour ce deuxième opus de sa deuxième trilogie liée à l'Anneau et adapté de J.R.R. Tolkien, le cinéaste néo-zélandais s'est entouré d'un casting très viril avec notamment Martin Freeman, Andy Serkis, Hugo Weaving, Ian McKellen, Stephen Fry, Elijah Wood, Christopher Lee, Benedict Cumberbatch et Orlando Bloom, alors que la touche féminine est apportée par les ravissantes Evangeline Lilly et Cate Blanchett. (Voir notre galerie photos)

Une bonne partie de cet incroyable casting était d'ailleurs sur le tapis rouge californien hier soir, et l'on a pu se délecter de la classe d'Orlando Bloom, actuellement sur la scène de Broadway où il joue une nouvelle et moderne adaptation de Roméo et Juliette, alors que tous les regards étaient tournés vers la magnifique Evangeline Lilly. Dans une robe des plus sensuelles, la belle actrice canadienne de 34 ans qui incarne l'Elfe Tauriel aura été l'attraction principale de cette avant-première très courue hier soir dans la Cité des Anges.

L'histoire du Hobbit: La Désolation de Smaug raconte la suite des aventures de Bilbon Sacquet, parti reconquérir le Mont Solitaire et le Royaume perdu des Nains d'Erebor, en compagnie du magicien Gandalf le Gris et des 13 nains, dont le chef n'est autre que Thorin Écu-de-Chêne.
Après avoir survécu à un périple inattendu, la petite bande s'enfonce vers l'Est, où elle croise Beorn, le Changeur de Peau, et une nuée d'araignées géantes au cœur de la Forêt Noire qui réserve bien des dangers. Alors qu'ils ont failli être capturés par les redoutables Elfes Sylvestres, les Nains arrivent à Esgaroth, puis au Mont Solitaire, où ils doivent affronter le danger le plus terrible – autrement dit, la créature la plus terrifiante de tous les temps qui mettra à l'épreuve le courage de nos héros, mais aussi leur amitié et le sens même de leur voyage : le Dragon Smaug.

Le Hobbit: la désolation de Smaug sort en salles le 11 décembre 2013.

Source : Premiere

Orlando Bloom : l'œuvre au noir

2013-11-30T21:06:00+01:00

Dans Zulu, en salles la semaine prochaine, le comédien habitué aux rôles romantiques brise son image en interprétant un policier à la dérive dans l'Afrique du Sud post-apartheid. Nous l'avons rencontré.

On ignore si Orlando Bloom a la main verte, mais une chose est sûre: ce natif du Kent sait, tel le jardinier anglais, qu'il faut savoir bousculer les perspectives, chahuter les sillons du succès trop sagement creusés saison après saison… Depuis ses débuts au cinéma, en 1997, l'acteur s'est taillé une carrière au cordeau. Du roi des elfes de la Forêt-Noire dans Le Seigneur des anneaux à son personnage de William Turner dans Pirates des Caraïbes, de son interprétation de Pâris dans Troie à celle du duc de Buckingham dans Les Trois Mousquetaires, il a su ratisser les rôles qui tourneboulent les jeunes filles en fleurs et font éclore une popularité que rien n'érafle. Un parcours tout tracé. Trop, peut-être. Depuis des années, le comédien cherchait à changer d'air, à s'enraciner dans d'autres univers. C'est chose faite!

A 36 ans, Orlando Bloom brise son image en interprétant dans l'excellent thriller de Jérôme Salle, adapté du non moins excellent roman de Caryl Ferey, Zulu, un agent de police sud-africain à la dérive… «J'ai toujours pensé que je pouvais tout interpréter, explique-t-il, mais être catalogué dans un type de personnage oblige à redoubler d'efforts pour arriver à montrer une autre facette de soi. Je suis extrêmement reconnaissant à Jérôme Salle de m'avoir offert l'opportunité de ce rôle que je me suis empressé d'accepter.» Se greffer sur le casting du film n'a pas été une simple affaire. Le réalisateur français a dû insister pour imposer le beau brun abonné aux héros romantiques. Il a su trouver les bons arguments, comme considérer que «l'énergie très positive que dégage Orlando Bloom dans la vie» lui permettrait d'éviter la caricature du flic au bout du rouleau, introverti et taciturne. Pari gagné: poussé au défi de devoir montrer une nature plus sombre et plus violente, l'acteur réussit sa métamorphose en développant un jeu subtil construit sur une approche psychologique du personnage: «Brian est loin d'être un homme parfait, il multiplie les conquêtes, boit trop, ne parle plus à son fils, mais il ne se ment pas. D'une certaine façon, il est honnête, lucide… Mon ambition était de trouver cette vérité-là.»

Le scénario ne lui laissait guère d'autre choix, qui le met à nu, au propre comme au figuré. Pour apparaître plus viril à l'écran et correspondre au profil des Sud-Africains «souvent très machos», il s'est astreint à de nombreuses séances de musculation et s'est échiné à saisir l'accent du coin, «qui n'est pas facile à reproduire!» Mouiller sa chemise n'était qu'un début. Pour tenir la distance face à son partenaire, l'immense Forest Whitaker, oscarisé en 2007 pour Le Dernier Roi d’Écosse, il a dû travailler d'arrache-pied. «Il était totalement investi dans le rôle, se souvient l'écrivain Caryl Ferey. Trois semaines avant tout le monde, il était déjà là pour s'imprégner des lieux.» Le comédien anglais s'est immergé dans l'atmosphère singulière du Cap et des townships, se plongeant dans l'histoire poignante et passionnante de ce pays «où la paix ne peut passer par un sentiment de revanche, mais par la capacité de chacun à pardonner pour aller de l'avant». Suivre les policiers sur le terrain s'avéra impossible. Il a alors multiplié les rencontres pour saisir au mieux la difficulté de leurs missions dans des quartiers comme Cape Flats, où règnent les gangs, la misère, la prostitution, le commerce de la drogue… Plusieurs scènes du film particulièrement impressionnantes s'y déroulent:«Ce sont des coins où aucun touriste ne va, où personne n'avait tourné avant nous. Les gens nous regardaient avec étonnement, mais bienveillance. C'était une expérience extraordinaire, très, très intense.» Émotion d'autant plus forte qu'une relation particulière unit Orlando Bloom à l'Afrique du Sud. Son père, Harry Bloom, était un journaliste et écrivain sud-africain connu pour son militantisme anti-apartheid. «L'Afrique du Sud fait partie de mon héritage familial. Pendant le tournage, on m'a offert un livre sur les mémoires de Nelson Mandela où deux pages sont consacrées à mon père, un Juif blanc qui a dû fuir le pays. Découvrir l'Afrique du Sud, ce pays où l'on sent vraiment le sens de la responsabilité humaine, m'a appris beaucoup et m'a permis de reconstituer un puzzle personnel dont il me manquait encore certaines pièces.»

Entre jardin secret et performance artistique, le Britannique a su trouver sur cette terre lointaine et intime l'envie de faire germer de nouveaux projets… Interpréter actuellement le rôle titre de la pièce Roméo et Juliette à Broadway, retrouver le personnage de Legolas dans Le Hobbit: la désolation de Smaug, de Peter Jackson - en salles le 11 décembre prochain - ne l'empêchera pas de faire preuve d'audace à l'avenir. Il aimerait bien tourner avec Jacques Audiard dont le film Un prophète l'a beaucoup impressionné. Parole de jardinier, Orlando Bloom ne s'endormira pas sur ses lauriers!

Source : Le Figaro

Orlando Bloom à propos du retour de Legolas dans Le Hobbit

2013-11-07T19:10:00+01:00

Lundi 4 novembre dernier, Warner Bros. a organisé un événement spécial pour les fans du Hobbit : une soirée présentée par une partie du casting, retransmise partout dans le monde. L'occasion de découvrir les 20 premières minutes du film Le Hobbit, la désolation de Smaug et de parler (pour ceux qui était à New York) avec Orlando Bloom. Ce dernier est revenu sur son rôle, Legolas, avouant avoir été très nerveux.

Si Orlando Bloom est fraichement célibataire, l'acteur ne compte pas pour autant laisser sa carrière de côté. Actuellement à Broadway dans la peau de Romeo, le beau-gosse sera également à l'affiche du Hobbit, la désolation de Smaug le 11 décembre prochain. L'occasion pour l'acteur de renouer avec son personnage de Legolas, absent du premier volet du Hobbit mais célèbre depuis Le Seigneur des anneaux.

Orlando n'a d'ailleurs pas eu peur d'assumer une chose : il était très nerveux lorsqu'on lui a proposer de jouer à nouveau Legolas. "Vous savez, ça peut paraître bizarre mais j'étais nerveux à l'idée de rejouer Legolas après tout ce temps, je ne savais pas comment ça allait se passer ni comment j'allais le ressentir" raconte l'acteur en début de soirée. Les fans du "Seigneurs des anneaux" semble à l’unanimité être tous ravis de retrouver le personnage de Legolas, qui sera rejoint par celui d'Evangeline Lily.

Le beau brun ajoute ensuite "Ce n'est pas vraiment comment j'allais le ressentir qui me faisait peur, mais plutôt comment j'allais faire pour le jouer correctement. Mais finalement je ne me suis pas vraiment pris la tête, la réaction des fans sur le fait que "Leggy" soit là ou non m'inquiétait un peu mais d'un autre côté, c'est un de mes personnages préférés. Donc quand Peter Jackson m'a donné le feu vert et m'a expliqué son point de vue, j'étais à fond dedans."

On comprend bien l'acteur qui a finalement fait le juste choix en acceptant de revenir dans la saga du Hobbit. On espère en découvrir un peu plus sur ce champion de l'archer et sur les elfes dans le prochain Hobbit, la désolation de Smaug, le premier volet étant plus concentré sur les nains. La réponse le 11 décembre prochain.

Source : Pure Trend (avec la vidéo de l'interview sous-titrée)