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Orlando Bloom Online - Mot-clé - Forest Whitaker Toute l'actualité de l'acteur britannique. 2018-08-10T13:47:03+02:00 Idril urn:md5:d7d79041b9e779b2347903bf40b9a1dc Dotclear Le 10e Prix Jacques Deray attribué à Zulu de Jérôme Salle urn:md5:d0c827d1d2536d66c617a68f83b99e3f 2014-01-18T10:41:00+01:00 2014-01-18T11:42:13+01:00 Idril Films Forest WhitakerJérôme SalleOrlando BloomZulu <p>Le 10e Prix Jacques Deray est attribué à Zulu de Jérôme Salle.</p> <p>Créé en 2005 en mémoire du cinéaste, le Prix Jacques Deray récompense un film policier français de l’année écoulée.</p> <p> Pour 2014, le 10e Prix Jacques Deray va au film de Jérôme Salle, Zulu, adapté du roman de Caryl Férey, avec Orlando Bloom et Forest Whitaker.</p> <p>Le film, qui se déroule en Afrique du Sud, est l’occasion de se replonger dans ce pays qui a marqué l’actualité récente après le décès de Nelson Mandela. Il a été projeté en clôture du Festival de Cannes 2013.</p> <p> Le Prix sera remis à Jérôme Salle samedi 8 février à 19h à l’Institut Lumière par Agnès Vincent-Deray et Laurence Deray, épouse et fille de Jacques Deray, et par Bertrand Tavernier et Thierry Frémaux, en présence de Laurent Heynemann, Président de la SACD.</p> <p><em>Source : <a href="http://www.lyonpremiere.com/Le-10e-Prix-Jacques-Deray-attribue-a-Zulu-de-Jerome-Salle_a3858.html">Lyon Première</a></em></p> Orlando Bloom : l'œuvre au noir urn:md5:29f5c6b267c722b8750aba79b751857b 2013-11-30T21:06:00+01:00 2013-11-30T22:06:25+01:00 Idril Articles français Caryl FereyForest WhitakerLe Hobbit: La désolation de SmaugNelson MandelaOrlando BloomPeter JacksonRoméo et JulietteZulu Dans <em>Zulu</em>, en salles la semaine prochaine, le comédien habitué aux rôles romantiques brise son image en interprétant un policier à la dérive dans l'Afrique du Sud post-apartheid. Nous l'avons rencontré. <p>On ignore si Orlando Bloom a la main verte, mais une chose est sûre: ce natif du Kent sait, tel le jardinier anglais, qu'il faut savoir bousculer les perspectives, chahuter les sillons du succès trop ­sagement creusés saison après saison… Depuis ses débuts au cinéma, en 1997, l'acteur s'est taillé une carrière au cordeau. Du roi des elfes de la Forêt-Noire dans Le Seigneur des anneaux à son personnage de William Turner dans Pirates des Caraïbes, de son interprétation de Pâris dans Troie à celle du duc de Buckingham dans Les Trois Mousquetaires, il a su ratisser les rôles qui tourneboulent les jeunes filles en fleurs et font éclore une popularité que rien n'érafle. Un parcours tout tracé. Trop, peut-être. Depuis des années, le comédien cherchait à changer d'air, à s'enraciner dans d'autres univers. C'est chose faite!</p> <p> A 36 ans, Orlando Bloom brise son image en interprétant dans l'excellent thriller de Jérôme Salle, adapté du non moins excellent roman de Caryl Ferey, <em>Zulu</em>, un agent de police sud-africain à la dérive… «J'ai toujours pensé que je pouvais tout interpréter, explique-t-il, mais être catalogué dans un type de personnage oblige à redoubler d'efforts pour arriver à montrer une autre facette de soi. Je suis extrêmement reconnaissant à Jérôme Salle de m'avoir offert l'opportunité de ce rôle que je me suis empressé d'accepter.» Se greffer sur le casting du film n'a pas été une simple affaire. Le réalisateur français a dû insister pour imposer le beau brun abonné aux héros romantiques. Il a su trouver les bons arguments, comme considérer que «l'énergie très positive que dégage Orlando Bloom dans la vie» lui permettrait d'éviter la caricature du flic au bout du rouleau, introverti et taciturne. Pari gagné: poussé au défi de devoir montrer une nature plus sombre et plus violente, l'acteur réussit sa métamorphose en développant un jeu subtil construit sur une approche psychologique du personnage: «Brian est loin d'être un homme parfait, il multiplie les conquêtes, boit trop, ne parle plus à son fils, mais il ne se ment pas. D'une certaine façon, il est honnête, lucide… Mon ambition était de trouver cette vérité-là.»</p> <p> Le scénario ne lui laissait guère d'autre choix, qui le met à nu, au propre comme au figuré. Pour apparaître plus viril à l'écran et correspondre au profil des Sud-Africains «souvent très machos», il s'est astreint à de nombreuses séances de musculation et s'est échiné à saisir l'accent du coin, «qui n'est pas facile à reproduire!» Mouiller sa chemise n'était qu'un début. Pour tenir la distance face à son partenaire, l'immense Forest Whitaker, oscarisé en 2007 pour Le Dernier Roi d’Écosse, il a dû travailler d'arrache-pied. «Il était totalement investi dans le rôle, se souvient l'écrivain Caryl Ferey. Trois semaines avant tout le monde, il était déjà là pour s'imprégner des lieux.» Le comédien anglais s'est immergé dans l'atmosphère singulière du Cap et des townships, se plongeant dans l'histoire poignante et passionnante de ce pays «où la paix ne peut passer par un sentiment de revanche, mais par la capacité de chacun à pardonner pour aller de l'avant». Suivre les policiers sur le terrain s'avéra impossible. Il a alors multiplié les rencontres pour saisir au mieux la difficulté de leurs missions dans des quartiers comme Cape Flats, où règnent les gangs, la misère, la prostitution, le commerce de la drogue… Plusieurs scènes du film particulièrement impressionnantes s'y déroulent:«Ce sont des coins où aucun touriste ne va, où personne n'avait tourné avant nous. Les gens nous regardaient avec étonnement, mais bienveillance. C'était une expérience extraordinaire, très, très intense.» Émotion d'autant plus forte qu'une relation particulière unit Orlando Bloom à l'Afrique du Sud. Son père, Harry Bloom, était un journaliste et écrivain sud-africain connu pour son militantisme ­anti-apartheid. «L'Afrique du Sud fait partie de mon héritage familial. Pendant le tournage, on m'a offert un livre sur les mémoires de Nelson Mandela où deux pages sont consacrées à mon père, un Juif blanc qui a dû fuir le pays. Découvrir l'Afrique du Sud, ce pays où l'on sent vraiment le sens de la responsabilité humaine, m'a appris beaucoup et m'a permis de reconstituer un puzzle personnel dont il me manquait encore certaines pièces.»</p> <p>Entre jardin secret et performance artistique, le Britannique a su trouver sur cette terre lointaine et intime l'envie de faire germer de nouveaux projets… Interpréter actuellement le rôle titre de la pièce <em>Roméo et Juliette</em> à Broadway, retrouver le personnage de Legolas dans <em>Le Hobbit: la désolation de Smaug</em>, de Peter Jackson - en salles le 11 décembre prochain - ne l'empêchera pas de faire preuve d'audace à l'avenir. Il aimerait bien tourner avec Jacques Audiard dont le film <em>Un prophète</em> l'a beaucoup impressionné. Parole de jardinier, Orlando Bloom ne s'endormira pas sur ses lauriers!</p> <p> <em>Source : <a href="http://www.lefigaro.fr/cinema/2013/11/29/03002-20131129ARTFIG00453-orlando-bloom-l-oeuvre-au-noir.php">Le Figaro</a></em></p> Orlando Bloom: avec Zulu, son heure est arrivée urn:md5:429da8a3675a5c25572881d128dd7805 2013-11-28T20:21:00+01:00 2013-11-30T22:07:34+01:00 Idril Articles français Forest WhitakerJérôme SalleLe Seigneur des anneauxOrlando BloomZulu <p>L'elfe du <em>Seigneur des anneaux</em> et le Will Turner de <em>Pirates des Caraïbes</em> a décidé d'en finir avec les rôles à belle gueule. Dans <em>Zulu</em>, l'acteur joue un flic déglingué, une étape dans sa carrière.</p> <p>Les oreilles pointues peuvent devenir encombrantes. Surtout près des antennes-relais, où elles se transforment en radar. Mais pas seulement. Pour un acteur, par exemple, cette coquetterie physique prend facilement des allures de boulet. Le catogan aussi, pourtant si inoffensif et si joli quand il est bien porté, est susceptible de ressembler à une casserole en cas d'usage prolongé. C'est, à peine revu et corrigé, ce que disait Orlando Bloom sur le tournage de <em>Zulu</em>, de Jérôme Salle, il y a tout juste un an. Le Legolas de la trilogie <em>Seigneur des anneaux</em> et le Will Turner de la saga <em>Pirates des Caraïbe</em>s commençaient à lui peser un chouia - on le retrouvera quand même dans <em>Le Hobbit 2</em> - et il espérait beaucoup de ce polar tourné en Afrique du Sud, dans lequel il interprète un flic alcoolo et fêtard, coucheur d'un soir mais ami d'une vie. </p> <p>Le film fit la clôture du Festival de Cannes 2013, et Orlando Bloom, qu'on revit à cette occasion, était heureux de monter les marches sans oreilles ni catogan. D'autant que sa performance fut saluée ici et ailleurs. Le rôle de Brian Epkeen lui va bien et l'extirpe des draps cotonneux sous lesquels se repaît le jeune premier content de son sort. Orlando Bloom, lui, n'était visiblement pas content: "De tous les acteurs que j'ai vus, c'est celui qui avait le plus envie de faire le film", note Jérôme Salle.</p> <p> Son histoire est celle d'un acteur à belle gueule embauché comme un mouchoir jetable et pris dans le tourbillon de succès mondiaux peu communs qui lui bâtirent une prison dorée. Daniel "Harry Potter" Radcliffe et Robert "Twilight" Pattinson eurent droit au même traitement. Mais, grosse différence, ce ne sont pas de bons comédiens. Surtout le magicien. Orlando, lui - après tout, on a dîné ensemble, donc, va pour Orlando -, semble avoir de meilleures dispositions. Mais personne n'aurait gratté un ticket sur son nom au moment de <em>Calcium Kid</em>, de <em>L'Enfer au paradis</em> ou de <em>Main Street</em>, films peu vus d'une carrière qui a du mal à se faire remarquer. On prend les paris que cet excellent Zulu va lui redorer le blason. C'est mérité. A 36 ans, Orlando Bloom monte au créneau, refusant la mollesse des tapis rouges pour se retrouver dans la poussière, flingue au poing, dirigé par un réalisateur français inconnu.</p> <p>"C'est le début d'une nouvelle route", lançait alors l'acteur, sûr de lui. L'absence d'agent affairé ou d'attaché de presse personnel sur le tournage disait bien l'état d'esprit du moment. "Je sais que, pour moi, ce film est un challenge. Mais j'ai confiance. Quoi qu'il se passe après, cette expérience est déjà plus importante que le résultat". A côté de son partenaire Forest Whitaker, acteur magnifique mais grande carcasse souvent refermée sur elle-même, Orlando Bloom s'agitait comme un poisson dans l'eau, s'inquiétant d'une prise à retourner pour l'améliorer, se fondant dans la foule des curieux prêts à adopter un chiot qui passait par là.</p> <p> Six mois plus tard, à Cannes, Orlando remettait le couvert avec l'équipe de <em>Zulu</em> lors d'un dîner où il affirma sa passion des montres, en même temps qu'il insista pour être présent à la répétition technique du film d'avant projection officielle, là où habituellement les acteurs, peu concernés, ne vont pas. Il arrivait de New York et il y retournait très vite répéter Roméo et Juliette, qu'il joue depuis la rentrée. La critique new-yorkaise est partagée, mais jamais assassine. Difficile, en fait, de l'accuser de rester en pantoufles, lui qui s'affiche dans une pièce classique peu anodine, prêt à supporter les comparaisons avec tous ceux qui ont joué le rôle. Il y est Roméo. Tout à sa volonté de changer d'air et de se refaire une santé d'acteur, pas sûr qu'il aurait refusé d'être Juliette.</p> <p>Source : <em><a href="http://www.lexpress.fr/culture/cinema/orlando-bloom-avec-zulu-son-heure-est-arrivee_1303463.html">L'Express</a></em></p> Zulu : La bande annonce VOST urn:md5:4c7455d5061eedaf98a9ccdbd1b2b447 2013-09-26T19:00:00+02:00 2013-10-29T02:02:30+01:00 Idril Films Caryl FereyForest WhitakerJérôme SalleMetz ColaOrlando Bloom <p>Découvrez la bande-annonce du polar <em>Zulu</em> de Jérôme Salle avec Forest Whitaker et Orlando Bloom dans les rôles principaux.</p> <p>Synopsis : Dans une Afrique du Sud encore hantée par l'apartheid, deux policiers, un noir, un blanc, pourchassent le meurtrier sauvage d'une jeune adolescente. Des Townships de Capetown aux luxueuses villas du bord de mer, cette enquête va bouleverser la vie des deux hommes et les contraindre à affronter leurs démons intérieurs.</p> <p>Présenté en clôture du festival de Cannes en mai dernier, <em>Zulu</em> refait enfin parler de lui grâce à sa première bande-annonce, plutôt glaçante. Après des extraits mettant en avant l'action, on découvre enfin les enjeux du film adapté du polar de Caryl Férey. Une drogue fait des ravages en Afrique du Sud et deux policiers chargés d'enquêter sur un meurtre particulièrement sanglant vont rapidement découvrir que le crime est lié à cette substance. Pire, ce produit, qui a tué des milliers de personnes aurait été créée en plein Apartheid comme "bombe ethnique" visant particulièrement les Noirs du pays. Une découverte qui révolte les deux hommes, qui ne sont pas au bout de leurs surprises...</p> <p>La bande-annonce livre beaucoup d'éléments de l'intrigue, mais il faut bien avouer que c'est efficace : Forest Whitaker, amaigri, plonge peu à peu en plein cauchemar aux côtés d'Orlando Bloom, qui incarne son jeune coéquipier. C'est Jérôme Salle, le réalisateur des Largo Winch, qui s'est chargé de la mise en scène du film, qui sortira le 4 décembre.</p> <div><object type="application/x-shockwave-flash" data="//www.youtube.com/v/xg1cldpVv6U?hl=fr_FR&amp;version=3" height="360" width="640"><param name="movie" value="//www.youtube.com/v/xg1cldpVv6U?hl=fr_FR&amp;version=3" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><param name="allowscriptaccess" value="always" /></object></div> <p> <em>Source : <a href="http://www.premiere.fr/film/Zulu-2198163">Première</a></em></p> Zulu, un thriller violent en Afrique du sud pour clôturer Cannes urn:md5:7e28d3d8efed57c248903fb6ab5c0fd6 2013-05-27T18:13:00+01:00 2013-10-29T00:05:54+00:00 Idril Films Caryl FereyForest WhitakerJérôme SalleOrlando BloomZulu <p>Avec <em>Zulu</em>, le cinéaste français Jérôme Salle clôturera hors compétition le 66e festival de Cannes avec un thriller pessimiste et violent, dont l'intérêt principal réside dans son tournage en Afrique du Sud entre townships miséreux et quartiers huppés de Cape Town.</p> <p>L'Américain Forest Whitaker et le Britannique Orlando Bloom, entourés d'une myriade d'acteurs sud-africains recrutés en partie dans des gangs locaux, incarnent deux policiers amis poursuivant le meurtrier d'une jeune fille à Cape Town.</p> <p>Le brillant Whitaker -prix d'interprétation masculine à Cannes en 1988 pour son rôle du jazzman Charlie Parker ("Bird") et oscar du meilleur acteur en 2007 pour sa personnification du dictateur ougandais Idi Amin Dada ("Le dernier roi d’Écosse")- soutient sans surprise le film.</p> <p>"Je me suis promené avec une unité de police s'occupant de crimes violents, j'ai rencontré des membres de gangs et j'ai commencé à comprendre ce qu'était un township", a expliqué dimanche Forest Whitaker devant la presse.</p> <p>Pour l'acteur sud-africain Conrad Kemp (qui joue un policier blanc), "le film est empreint d'une grande authenticité par rapport aux dysfonctionnements du pays". "Les cercles académiques sud-africains sont devenus assez méfiants vis à vis de la perception extérieure de l'Afrique du sud, mais je crois le film va être accepté comme un produit sud-africain", a-t-il ajouté.</p> <p>Dans ses deux films à succès sur les aventures du héros milliardaire Largo Winch (personnage tiré d'une bande dessinée culte), Jérôme Salle avait montré son goût pour les films d'action menés tambour battant.</p> <p>"C'est un virage, je m'abrite un peu moins derrière un exercice de style", souligne Jérôme Salle, qui s'était fixé "l'objectif de faire un film sud-africain".</p> <p>"On est arrivés avec une grande humilité. Comment faire pour que ça sonne vrai? Ce sont des centaines de détails".</p> <p>Le réalisateur, qui a adapté un roman noir de l'auteur français Caryl Férey, a vécu quasiment un an à Cape Town pour ce tournage.</p> <p><em>Zulu</em> plonge dans une Afrique du sud pauvre minée par la drogue, la violence et la prostitution.</p> <p>Le "pardon" pour avancer dans la vie, fil conducteur du film qui prend une résonance particulière dans ce pays, est appliqué avec détermination par le personnage du policier Ali interprété par Whitaker, ex-enfant pauvre martyrisé au temps de l'apartheid qui rend encore visite à sa mère dans un township. Jusqu'au moment où celle-ci est assassinée et où Ali bascule un peu abruptement dans la vengeance.</p> <p>"Beaucoup de films glorifient la vengeance, on pouvait la traiter différemment", dit Jérôme Salle, dont la fin du film reste très classique.</p> <p>Le beau gosse Orlando Bloom joue pour sa part Brian, un policier tatoué et macho en pleine déchéance qui boit et prend des cachets. "Je n'étais pas le choix évident pour ce rôle. C'est un nouveau chapitre pour moi. C'est difficile de casser la perception que les autres ont de vous!".</p> <p>Copyright © 2013 AFP. Tous droits réservés.</p> <p><em>Source : <a href="http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20130526.AFP4032/zulu-un-thriller-violent-en-afrique-du-sud-pour-cloturer-cannes.html">Nouvel Obs</a></em></p>