Orlando Bloom Online - Mot-clé - Duc de Buckingham

The Three Musketeers: un pour tous, tous pour un

2011-10-21T17:25:00+01:00

Les trois mousquetaires reviennent, mais en 3D cette fois-ci Un film qui ne se prend pas au sérieux, aux dires d’Orlando Bloom, une de têtes d’affiche.

Le nouveau film The Three Musketeers (Les trois mousquetaires) fait de nouveau retentir la devise intemporelle et familière « Un pour tous, tous pour un », qui évoque les Français maniant l’épée au 17e siècle. Toutefois, cette nouvelle version présente des scènes d’action audacieuses et modernes destinées à un jeune public, d’après le réalisateur et coproducteur Paul W.S. Anderson, l’homme derrière la saga Resident Evil. « J’estimais que chaque génération devait avoir sa version des Trois mousquetaires », dit-il au sujet du classique d’Alexandre Dumas, qui date de 1844. Ainsi, le film se résume essentiellement à une nouvelle distribution, à des dialogues dynamiques et à des effets visuels originaux, le tout en 3D, ce qui est très tendance actuellement.

La « distribution brillante » de Paul W.S. Anderson est plutôt saluée par la critique. Logan Lerman, qui a joué dans le film Percy Jackson, sort de l’adolescence en incarnant le personnage principal de d’Artagnan. Les mousquetaires blasés sont interprétés par Matthew Macfadyen (Pride and Prejudice), Ray Stevenson (série télévisée Rome) et Luke Evans (Immortals, un film à paraître bientôt) tandis que l’épouse de Paul W.S. Anderson et favorite des films-cultes Milla Jovovich personnifie l’agente triple Milady de Winter.

Dans le camp des méchants, Christoph Waltz, qui a remporté un Oscar pour son rôle dans le film Inglourious Basterds, incarne l’intrigant Richelieu, et Orlando Bloom donne vie à l’ignoble duc de Buckingham. D’Artagnan et ses copains doivent protéger le roi de France de ces deux fous. « Le film ne se prend pas au sérieux, déclare Orlando Bloom. C’est une version populaire, ironique, irrévérencieuse et drôle, du type “achetez un gros sac de maïs soufflé et évadez-vous”. Ce n’est pas une reproduction historiquement fidèle du roman Les trois mousquetaires qu’on a voulu faire. »

Portant une coiffure banane hyper réelle et des costumes criards à collerette, le duc sournois campé par Orlando Bloom témoigne du caractère caricatural du film. Même les mousquetaires aiment mieux lever le coude que passer à l’action. «Je ne sais pas pourquoi nous n’avons pas eu l’indicatif musical de Dogtanian and the Three Muskehounds [dessin animé des années 1980], lance Matthew Macfadyen à la blague. À la place, nous avons eu Take That [vedettes populaires britanniques]. Qui plus est, j’étais un peu jaloux des costumes d’Orlando. »

« La devise “Un pour tous, tous pour un” décrit exactement le film, ajoute Orlando Bloom. De plus, il est en 3D et on y voit un dirigeable gigantesque... » ajoute-t-il pour nous convaincre d’aller voir le film !

Logan Lerman: problème capillaire

Sur le plateau du film The Three Musketeers, les cheveux de Logan Lerman lui ont donné du fil à retordre. « J’étais très conscient des rallonges, dit l’acteur de 19 ans au sujet de la tignasse ébouriffée qu’il arbore dans le film. Il s’agissait de sortes de petites billes fixées une par une à cinq mèches de cheveux. Honnêtement, c’était comme une tuque que je ne pouvais pas enlever. »

Abstraction faite de ses coiffures douteuses, Logan Lerman, l’un des jeunes acteurs les plus en vue à Hollywood, assure son statut de coqueluche en incarnant d’Artagnan, un jeune fermier se livrant à des combats à l’épée avec des hommes d’âge moyen sous les lumières de Paris. Lerman préfère se distancier de son personnage. « Je ne suis pas aussi sûr de moi que d’Artagnan, du moins en amour, confie l’acteur de 1,70 m. Je suis assez nerveux en ce qui concerne ce genre de choses. »

« Je n’arrive pas à voir de similitudes entre d’Artagnan et moi», poursuit-il.Logan Lerman, qui vient de finir de tourner le drame The Perks of Being a Wallflower avec Emma Watson et Paul Rudd, ajoute que la plupart de ses films préférés ne sont pas «grand public». «Beaucoup de mes héros personnels sont des réalisateurs de films-cultes, comme David Fincher, les frères Coen, Paul Thomas Anderson et Stanley Kubrick», précise-t-il. Qu’en est-il de Paul W.S. Anderson? «Je ne me consacrerais pas exclusivement à un genre précis, répond-il. L’important, c’est de collaborer avec des cinéastes qui permettent de s’épanouir sur le plan artistique et qui sont originaux et amusants. »

Source : Journal Metro

Orlando Bloom : Ses confessions sur son rôle dans "Les Trois Mousquetaires"

2011-10-17T17:28:00+01:00

Orlando Bloom sera bientôt à l'affiche du film Les Trois Mousquetaires et semble ravi de vivre cette toute nouvelle expérience.

Lors d'une récente interview au Huffington Post, le bel Orlando Bloom s'est confié sur son nouveau rôle dans le film d'action Les Trois Mousquetaires. "Je ne sais pas comment tout ceci est arrivé. Je n'aurais jamais pu prévoir ça", a révélé l'acteur qui n'arrive pas à croire qu'il est devenu l'un des acteurs qui attire le plus de spectateurs dans les salles de cinémas.

Même s'il n'a rien vu venir, Orlando peut être fier d'avoir réussi à se hisser au rang d'acteur internationalement réputé. Grâce à ses rôles dans Le Seigneur des Anneaux et Pirates des Caraïbes, deux des plus grosses franchises de ces dix dernières années, Orlando s'est fait un nom que l'on n'est pas près d'oublier. Une fois encore, il risque de faire parler de lui dans Les Trois Mousquetaires en 3D de Paul W S Anderson. "Ce qui est intéressant pour moi dans ce film est que je vais incarner un mauvais garçon. Je ne serai pas l'un des mousquetaires, contrairement à ce que tout le monde aurait pu attendre. J'incarne en effet le Duc de Buckingham qui a un petit côté voyou", a révélé Orlando lors de son interview, à Londres.

"Le Duc représentait le pouvoir de l'Empire Britannique, il était très apprécié du Roi, il avait donc beaucoup de liberté. Il était très riche et n'hésitait pas à le montrer avec de beaux costumes, de hauts talons, des perles, c'était donc plutôt amusant d'entrer dans son personnage. J'aime bien travailler sur des scripts forts, en lesquels je crois. J'aime me lever le matin en sachant que je vais m'éclater et me dépasser. Paul, le réalisateur des Trois Mousquetaires, voulait que les personnages se sentent comme les stars du rock de leur époque. Je me suis tout de suite comparé à David Bowie", a ajouté Orlando.

Source : News-de-stars

Orlando Bloom voulait être un mauvais garçon

2011-10-14T20:13:00+01:00

L’acteur Orlando Bloom affirme avoir accepté de participer au film The Three Musketeers parce qu'il souhaitait jouer un mauvais garçon, rapporte ThisisLondon.

L’acteur britannique incarne le rôle du Duc de Buckingham dans ce film d’aventures. Il avoue que ça a été « libérateur » de jouer un personnage aussi différent de ceux auxquels il est habitué.

Il déclare : « Je sais que je suis habituellement le bon garçon et c’est pourquoi je cherchais à prendre cette direction. C’est pourquoi j’ai fait le film, en fait. Je ne suis pas certain que j’aurais voulu incarner le rôle de D’Artagnan. Je voulais faire quelque chose où j’incarnerais un mauvais garçon. »

Bloom affirme que lorsqu’il a discuté avec le réalisateur Paul W.S. Anderson et le producteur Jeremy Bolt, ils avaient déjà pensé à lui pour ce rôle, croyant que « ce serait un changement très intéressant, une réelle différence, un nouveau tournant ».

« Les mauvais garçons ont plus de plaisir, tellement plus de plaisir, et c’est totalement libérateur », explique l'acteur.

Le film The Three Musketeers mettant en vedette Orlando Bloom sera à l’affiche le 21 octobre prochain (au Canada).

Source : Métro

Bloom et Miranda Kerr : Amour et glamour

2011-10-09T16:14:00+01:00

A force de jouer de l’épée dans des blockbusters en costume, il a touché le cœur de la plus jolie top model australienne. Interview Dany Jucaud - Paris Match

Legolas, l’elfe sexy du « Seigneur des anneaux », Will Turner dans « Pirates des Caraïbes », Orlando Bloom interprète Buckingham dans la nouvelle version – en 3D – des « Trois mousquetaires » d’Alexandre Dumas, adaptée par Paul Anderson. C’est un homme charmant, très charmant même, qui adore son métier et particulièrement ce film. Mais – fatigue ou l’ennui –, il évite bizarrement votre regard. Mais comment en vouloir à un homme qui a un soleil tatoué sur le ventre ?

Paris Match. “Les trois mousquetaires” est un film de plus à votre palmarès avec une épée et un cheval. Est-ce le manque d’imagination des metteurs en scène, ou y a-t-il quelque chose de spécial en vous qui fait que, dès qu’un film d’époque est dans l’air, c’est vous qu’on appelle en premier ?
Orlando Bloom. Je refuse de rester prisonnier d’un genre. Coup sur coup, je viens de jouer une rock star, un flic et un docteur. Je me vois comme quelqu’un de très contemporain, de très moderne. C’est, j’imagine, ce que recherchent les metteurs en scène pour ajouter un peu de modernité à leurs personnages, mais je reconnais que j’ai du mal à comprendre ce qu’ils voient exactement en moi. Le roman de Dumas était sur la liste des livres qu’on vous donnait à lire quand vous étiez à l’école. Comme tous les gosses de mon âge, j’étais fasciné par cet univers. Imaginez ma réaction quand on est venu me proposer ce rôle !

Vous êtes arrivé, aujourd’hui, là où d’autres jeunes acteurs rêveraient d’être. Avez-vous une idée précise de ce que vous voulez faire de votre vie ?
J’ai passé ma vie à courir, au point de ne même plus savoir qui j’étais. Je n’ai jamais eu peur de rien. A 21 ans, en faisant des acrobaties sur un balcon, je suis tombé d’une fenêtre. Je me suis brisé le dos et j’ai cru que je ne remarcherais jamais. Après les trois “Pirates des Caraïbes”, je me suis dit qu’il était temps que je me pose et que je change de rythme pour me retrouver. Je suis totalement habité par mon nouveau rôle de père. Aujourd’hui, ma priorité absolue est mon fils Flynn. Il est devenu le centre de ma vie. Dans sa perfection, je vois toutes mes imperfections. Grâce à lui, je prends conscience de la fragilité de la vie et du temps qui passe. Je n’ai plus du tout envie de courir la planète comme un dératé, je veux passer du temps avec lui. Je veux le regarder grandir.

"J’ai la foi, foi en la vie, foi en quelque chose d’immense qui nous dépasse"

Comment le voyez-vous ?
Comme une page blanche où tout est encore à écrire, avec le potentiel de devenir une magnifique personne. Quand j’étais enfant, j’étais dyslexique. Bien que ce handicap m’ait motivé pour avancer, je doutais de tout. Je veille à ce qu’il ait une bonne éducation, pour qu’il ait confiance en lui.

Depuis “Pirates des Caraïbes”, vous êtes la nouvelle idole de Hollywood. Comment faites-vous pour ne pas être happé par la célébrité ?
J’ai la foi, foi en la vie, foi en quelque chose d’immense qui nous dépasse. Ma foi est la même que celle du bouddhiste, que celui qui aime faire du yoga ou prier dans une mosquée. La foi vous rend humble. C’est si facile, dès qu’on a un brin de célébrité, de croire que tout vous est dû ! Je sais d’où je viens et qui je suis. J’ai pris des cours de théâtre pour être acteur, pas pour être célèbre. Etre célèbre n’est pas une excuse pour faire n’importe quoi. L’argent et la gloire, je m’en fous. Ce qui compte, ce n’est pas qui vous êtes, mais ce que vous faites. Chacun de nos actes, aussi insignifiant soit-il, peut avoir des répercussions sur l’humanité. Quand une femme noire, Rosa Parks, en 1955, refusa d’aller s’asseoir à l’arrière d’un autobus pour laisser sa place à un Blanc, elle a changé le cours de l’Histoire.

En juillet 2010, vous avez épousé Miranda Kerr dans le plus grand secret. Une performance, à notre époque ! Comment avez-vous fait pour qu’il n’y ait aucune fuite ?
Un dicton anglais dit grosso modo : “A partir du moment où le chat sort son museau de la boîte, c’est foutu !” Si vous voulez garder un secret, ne le confiez à personne !

En dehors du cinéma, avez-vous une passion qui vous dévore ?
Une seule : mon fils, mon fils, mon fils. J’ai d’ailleurs envie dorénavant, comme le fait souvent Johnny Depp, de ne tourner un film – ou des films – que pour mon fils et, qui sait, peut-être plus tard pour mes autres enfants.

Source : Paris-Match

Orlando Bloom aime le contre-emploi

2011-10-06T19:05:00+01:00

Après avoir incarné les « gentils » dans les films « Pirates des Caraïbes » et « Le Seigneur des Anneaux », Orlando Bloom a dû mettre de l'avant un côté plus sombre pour l'adaptation cinématographique du roman à succès d'Alexandre Dumas « Les Trois Mousquetaires ».

Il y campe le rusé duc de Buckingham, un noble britannique qui aime bien semer la zizanie dans la cour du roi Louis de France.

Cette fois, Orlando Bloom a été heureux de laisser ses compagnons de jeu Mathhew Macfayden (Athos), Ray Stevenson (Porthos) et Luke Evans (Aramis) jouer les héros.

Même si les trois acteurs avaient droit à toutes les «choses cool» puisqu'ils incarnaient « les super-héros de l'époque » et qu'il était condamné à se promener avec des souliers à talons, l'acteur britannique assure qu'il n'aurait changé de place pour rien au monde.

Orlando Bloom, nouveau papa, a affirmé qu'il se sent déjà comme l'un des trois mousquetaires de toute façon. Sa conjointe, la mannequin Miranda Kerr, a donné naissance à leur premier enfant, Flynn, il y a maintenant six mois.

L'acteur a particulièrement aimé se glisser dans les costumes d'époque — même les souliers à talon — et lancer les répliques assassines qui sont l'apanage du duc de Buckingham.

« C'est un agitateur, c'est un électron libre (...) C'est ce qui était particulièrement amusant », a-t-il exposé.

Le long métrage « Les Trois Mousquetaires », réalisé Paul W.S. Anderson, prendra l'affiche le 21 octobre au Québec.

Source : Métro Montréal