Orlando Bloom Online - Articles français

Orlando Bloom : Zulu, le théâtre... : il dit tout sur sa nouvelle vie sans Miranda Kerr !

2013-11-30T21:11:00+01:00

Interviewé par Paris Match, Orlando Bloom se livre sur ses nombreux projets, alors qu'il vient de se séparer du supermodel Miranda Kerr.

Dans le dernier numéro de Paris Match (Orlando Bloom, Le grand boom), en ce moment en kiosques, Orlando Bloom évoque le film Zulu, dont il tient le rôle principal et qui sortira le 4 décembre 2013, ses débuts à Broadway dans Roméo et Juliette ainsi que la façon dont sa vie a changé dernièrement.

L'acteur britannique de 36 ans a fait les gros titres de la presse people en annonçant, il y a tout juste un mois, qu'il s'était séparé de sa femme Miranda Kerr, avec qui il a un fils, Flynn. On murmure qu'il aurait été à l'initiative de cette rupture et qu'il aurait déjà remplacé le top model australien par Condola Rashad, sa partenaire dans Roméo et Juliette.

S'il se garde bien de s’appesantir sur ces rumeurs, Orlando Bloom fait savoir à l'hebdomadaire français qu'il est un homme neuf. Évoquant ses débuts sur les planches, celui qui affirme "ne pas lire les critiques" car elles ne "l'aident pas" confie : "Cette expérience m'a transformé. J'ai senti que je m'ouvrais à quelque chose de plus profond, de plus authentique car le théâtre n'autorise pas le chiqué. Je sens que chaque performance me nourrit. Et je suis fier d'avoir eu le courage de monter sur scène."

L'acteur, qui peine à se débarrasser d'une certaine étiquette blockbusters après s'être partagé pendant une dizaines d'années entre la saga Le seigneur des Anneaux et la franchise Pirates des Caraïbes, ose une métaphore : "C'est comme être à bord d'un énorme navire qui voyage dans une direction précise. Il faut le ralentir, l'arrêter, faire demi-tour pour partir dans une autre direction. Ce n'est pas aussi facile qu'on le pense. S'il le faut, je suis prêt à faire couler le bateau pour continuer à bord d'un petit canot à moteur, plus léger et plus rapide... Mais j'ai besoin qu'on me pousse."

"J'ouvre un nouveau chapitre de ma vie à bien des égards. Je me sens plus mûr, plus sûr de moi et prêt à aller de l'avant. J'ai aussi fait un certain nombre de changements dans ma vie privée. C'est une période à la fois très excitante et très concrète. J'y vois plus clair", conclut Orlando Bloom.

Source : Première

Orlando Bloom : l'œuvre au noir

2013-11-30T21:06:00+01:00

Dans Zulu, en salles la semaine prochaine, le comédien habitué aux rôles romantiques brise son image en interprétant un policier à la dérive dans l'Afrique du Sud post-apartheid. Nous l'avons rencontré.

On ignore si Orlando Bloom a la main verte, mais une chose est sûre: ce natif du Kent sait, tel le jardinier anglais, qu'il faut savoir bousculer les perspectives, chahuter les sillons du succès trop sagement creusés saison après saison… Depuis ses débuts au cinéma, en 1997, l'acteur s'est taillé une carrière au cordeau. Du roi des elfes de la Forêt-Noire dans Le Seigneur des anneaux à son personnage de William Turner dans Pirates des Caraïbes, de son interprétation de Pâris dans Troie à celle du duc de Buckingham dans Les Trois Mousquetaires, il a su ratisser les rôles qui tourneboulent les jeunes filles en fleurs et font éclore une popularité que rien n'érafle. Un parcours tout tracé. Trop, peut-être. Depuis des années, le comédien cherchait à changer d'air, à s'enraciner dans d'autres univers. C'est chose faite!

A 36 ans, Orlando Bloom brise son image en interprétant dans l'excellent thriller de Jérôme Salle, adapté du non moins excellent roman de Caryl Ferey, Zulu, un agent de police sud-africain à la dérive… «J'ai toujours pensé que je pouvais tout interpréter, explique-t-il, mais être catalogué dans un type de personnage oblige à redoubler d'efforts pour arriver à montrer une autre facette de soi. Je suis extrêmement reconnaissant à Jérôme Salle de m'avoir offert l'opportunité de ce rôle que je me suis empressé d'accepter.» Se greffer sur le casting du film n'a pas été une simple affaire. Le réalisateur français a dû insister pour imposer le beau brun abonné aux héros romantiques. Il a su trouver les bons arguments, comme considérer que «l'énergie très positive que dégage Orlando Bloom dans la vie» lui permettrait d'éviter la caricature du flic au bout du rouleau, introverti et taciturne. Pari gagné: poussé au défi de devoir montrer une nature plus sombre et plus violente, l'acteur réussit sa métamorphose en développant un jeu subtil construit sur une approche psychologique du personnage: «Brian est loin d'être un homme parfait, il multiplie les conquêtes, boit trop, ne parle plus à son fils, mais il ne se ment pas. D'une certaine façon, il est honnête, lucide… Mon ambition était de trouver cette vérité-là.»

Le scénario ne lui laissait guère d'autre choix, qui le met à nu, au propre comme au figuré. Pour apparaître plus viril à l'écran et correspondre au profil des Sud-Africains «souvent très machos», il s'est astreint à de nombreuses séances de musculation et s'est échiné à saisir l'accent du coin, «qui n'est pas facile à reproduire!» Mouiller sa chemise n'était qu'un début. Pour tenir la distance face à son partenaire, l'immense Forest Whitaker, oscarisé en 2007 pour Le Dernier Roi d’Écosse, il a dû travailler d'arrache-pied. «Il était totalement investi dans le rôle, se souvient l'écrivain Caryl Ferey. Trois semaines avant tout le monde, il était déjà là pour s'imprégner des lieux.» Le comédien anglais s'est immergé dans l'atmosphère singulière du Cap et des townships, se plongeant dans l'histoire poignante et passionnante de ce pays «où la paix ne peut passer par un sentiment de revanche, mais par la capacité de chacun à pardonner pour aller de l'avant». Suivre les policiers sur le terrain s'avéra impossible. Il a alors multiplié les rencontres pour saisir au mieux la difficulté de leurs missions dans des quartiers comme Cape Flats, où règnent les gangs, la misère, la prostitution, le commerce de la drogue… Plusieurs scènes du film particulièrement impressionnantes s'y déroulent:«Ce sont des coins où aucun touriste ne va, où personne n'avait tourné avant nous. Les gens nous regardaient avec étonnement, mais bienveillance. C'était une expérience extraordinaire, très, très intense.» Émotion d'autant plus forte qu'une relation particulière unit Orlando Bloom à l'Afrique du Sud. Son père, Harry Bloom, était un journaliste et écrivain sud-africain connu pour son militantisme anti-apartheid. «L'Afrique du Sud fait partie de mon héritage familial. Pendant le tournage, on m'a offert un livre sur les mémoires de Nelson Mandela où deux pages sont consacrées à mon père, un Juif blanc qui a dû fuir le pays. Découvrir l'Afrique du Sud, ce pays où l'on sent vraiment le sens de la responsabilité humaine, m'a appris beaucoup et m'a permis de reconstituer un puzzle personnel dont il me manquait encore certaines pièces.»

Entre jardin secret et performance artistique, le Britannique a su trouver sur cette terre lointaine et intime l'envie de faire germer de nouveaux projets… Interpréter actuellement le rôle titre de la pièce Roméo et Juliette à Broadway, retrouver le personnage de Legolas dans Le Hobbit: la désolation de Smaug, de Peter Jackson - en salles le 11 décembre prochain - ne l'empêchera pas de faire preuve d'audace à l'avenir. Il aimerait bien tourner avec Jacques Audiard dont le film Un prophète l'a beaucoup impressionné. Parole de jardinier, Orlando Bloom ne s'endormira pas sur ses lauriers!

Source : Le Figaro

Orlando Bloom: avec Zulu, son heure est arrivée

2013-11-28T20:21:00+01:00

L'elfe du Seigneur des anneaux et le Will Turner de Pirates des Caraïbes a décidé d'en finir avec les rôles à belle gueule. Dans Zulu, l'acteur joue un flic déglingué, une étape dans sa carrière.

Les oreilles pointues peuvent devenir encombrantes. Surtout près des antennes-relais, où elles se transforment en radar. Mais pas seulement. Pour un acteur, par exemple, cette coquetterie physique prend facilement des allures de boulet. Le catogan aussi, pourtant si inoffensif et si joli quand il est bien porté, est susceptible de ressembler à une casserole en cas d'usage prolongé. C'est, à peine revu et corrigé, ce que disait Orlando Bloom sur le tournage de Zulu, de Jérôme Salle, il y a tout juste un an. Le Legolas de la trilogie Seigneur des anneaux et le Will Turner de la saga Pirates des Caraïbes commençaient à lui peser un chouia - on le retrouvera quand même dans Le Hobbit 2 - et il espérait beaucoup de ce polar tourné en Afrique du Sud, dans lequel il interprète un flic alcoolo et fêtard, coucheur d'un soir mais ami d'une vie.

Le film fit la clôture du Festival de Cannes 2013, et Orlando Bloom, qu'on revit à cette occasion, était heureux de monter les marches sans oreilles ni catogan. D'autant que sa performance fut saluée ici et ailleurs. Le rôle de Brian Epkeen lui va bien et l'extirpe des draps cotonneux sous lesquels se repaît le jeune premier content de son sort. Orlando Bloom, lui, n'était visiblement pas content: "De tous les acteurs que j'ai vus, c'est celui qui avait le plus envie de faire le film", note Jérôme Salle.

Son histoire est celle d'un acteur à belle gueule embauché comme un mouchoir jetable et pris dans le tourbillon de succès mondiaux peu communs qui lui bâtirent une prison dorée. Daniel "Harry Potter" Radcliffe et Robert "Twilight" Pattinson eurent droit au même traitement. Mais, grosse différence, ce ne sont pas de bons comédiens. Surtout le magicien. Orlando, lui - après tout, on a dîné ensemble, donc, va pour Orlando -, semble avoir de meilleures dispositions. Mais personne n'aurait gratté un ticket sur son nom au moment de Calcium Kid, de L'Enfer au paradis ou de Main Street, films peu vus d'une carrière qui a du mal à se faire remarquer. On prend les paris que cet excellent Zulu va lui redorer le blason. C'est mérité. A 36 ans, Orlando Bloom monte au créneau, refusant la mollesse des tapis rouges pour se retrouver dans la poussière, flingue au poing, dirigé par un réalisateur français inconnu.

"C'est le début d'une nouvelle route", lançait alors l'acteur, sûr de lui. L'absence d'agent affairé ou d'attaché de presse personnel sur le tournage disait bien l'état d'esprit du moment. "Je sais que, pour moi, ce film est un challenge. Mais j'ai confiance. Quoi qu'il se passe après, cette expérience est déjà plus importante que le résultat". A côté de son partenaire Forest Whitaker, acteur magnifique mais grande carcasse souvent refermée sur elle-même, Orlando Bloom s'agitait comme un poisson dans l'eau, s'inquiétant d'une prise à retourner pour l'améliorer, se fondant dans la foule des curieux prêts à adopter un chiot qui passait par là.

Six mois plus tard, à Cannes, Orlando remettait le couvert avec l'équipe de Zulu lors d'un dîner où il affirma sa passion des montres, en même temps qu'il insista pour être présent à la répétition technique du film d'avant projection officielle, là où habituellement les acteurs, peu concernés, ne vont pas. Il arrivait de New York et il y retournait très vite répéter Roméo et Juliette, qu'il joue depuis la rentrée. La critique new-yorkaise est partagée, mais jamais assassine. Difficile, en fait, de l'accuser de rester en pantoufles, lui qui s'affiche dans une pièce classique peu anodine, prêt à supporter les comparaisons avec tous ceux qui ont joué le rôle. Il y est Roméo. Tout à sa volonté de changer d'air et de se refaire une santé d'acteur, pas sûr qu'il aurait refusé d'être Juliette.

Source : L'Express

Orlando Bloom, le pirate vert !

2011-11-12T18:44:00+00:00

Acteur à succès, Orlando Bloom est né le 13 janvier 1977 en Grande-Bretagne. Il explose sur la scène cinématographique grâce à son rôle de Legolas dans Le Seigneur des anneaux.

Charmeur et courageux dans Pirates des Caraïbes, il fait sensation aux côtés de Brad Pitt dans Troie. Apprécié de la gent féminine, l’acteur forme un couple glamour avec le mannequin Miranda Kerr qui a mis au monde il y a quelques mois leur premier enfant, un petit garçon nommé Flynn.

Une carrière prometteuse et une vie privée épanouie qui n’empêche pas Orlando et Miranda de se soucier de l’environnement.

Orlando Bloom : Antarctique et prise de conscience

Orlando Bloom aurait pu se consacrer à sa carrière d’acteur, ou bien profiter des joies de la vie de célébrité. Mais il n’en est rien. La planète, Orlando l’aime, et souhaite la protéger à sa manière.

Orlando Bloom et Global Green

En 2007, Orlando Bloom se rend en Antarctique avec l’association Global Green à bord du navire Ice Lady Patagonia.

L’acteur participe au voyage dans le but d’observer ce territoire finalement peu fréquenté par l’homme et découvre aux côtés du photographe Sebastian Copeland (son cousin), les conséquences du réchauffement climatique. Touché par ce qu’il a vu, ce voyage aura eu l’effet d’une prise de conscience : « Ces icebergs étaient majestueux, mais ils me paraissaient comme des dinosaures, comme une espèce en voie de disparition. Je peux revenir l’année prochaine ou dans 10 ans et je verrai que certains n’existeront plus. C’est terrifiant ».

Depuis ce voyage, l’acteur reste très investi auprès de l’association Global Green et fait régulièrement la promotion de l’éco-civisme et de tous ces petits gestes que chacun peut faire à son niveau pour préserver la planète.

Récemment, l’acteur était d’ailleurs présent à la 15e cérémonie des Millennium Awards organisée par Global Green dans le but de récompenser les associations, entreprises et individus qui mettent en place des actions dans l’intérêt de la planète. Il était également présent pour soutenir l’association lors de la 8e Pre Oscar Party, une fête rassemblant de nombreuses personnalités et chargée de récolter des fonds et de récompenser les initiatives intelligentes pour combattre le réchauffement climatique.

Une maison écolo pour Orlando !

Ecolo dans l’âme et conscient de l’impact du réchauffement climatique après son voyage en Antarctique, Orlando Bloom s’est lancé dans la construction d’une maison eco-friendly à Londres.

La maison verte en question est pourvue de panneaux solaires sur le toit et d’ampoules à basse consommation. L’acteur a d’ailleurs déclaré à propos de sa maison verte : « Elle est aussi verte que possible. Cette maison est équipée [...] de toutes les nouvelles technologies respectueuses de l’environnement. Ce n’est peut-être pas possible pour tous d’adopter un mode de vie complètement vert, mais nous pouvons faire de petites choses pour aider au ralentissement du réchauffement climatique ».

Orlando Bloom et Miranda Kerr sont beaux, sont amoureux, sont célèbres et tentent de respecter l’environnement à leur manière : le couple parfait ?

Heureux parents d’un petit garçon, Orlando et Miranda ont souhaité le meilleur pour leur enfant. A l’occasion de l’arrivée de leur fils, le couple Orlando & Miranda autrement baptisé « Mirlando » par les médias ont complètement revu la chambre d’enfant pour que celle-ci soit respectueuse de l’environnement et de la santé de leur bébé.

La rumeur voudrait même que la chambre ait été peinte en vert tandis que tous les vêtements de bébé, les couvertures et le matelas seraient complètement biologiques !

Le couple est très attaché à ce que leur enfant soit conscient de l’importance d’œuvrer pour la planète. A la maison, produits bio et recyclage sont de rigueur pour apprendre au plus tôt au petit Flynn les gestes qui protègent la planète. Le couple surveille également son alimentation : Orlando Bloom serait végétarien, ou du moins flexitarien puisqu’il serait devenu totalement accro au couscous lors du tournage au Maroc du film Kingdom Of Heaven !

Miranda Kerr défend l’environnement !

Pour Orlando, l’environnement, c’est important. Il ne pouvait donc pas épouser une jeune femme qui consomme sans compter et qui n’adopte pas son mode de vie. Ouf, Miranda Kerr est très investie également !

Un joli minois pour Earth Hour 2011

Miranda Kerr est sublime. Mannequin pour Victoria’s Secret, elle mène aujourd’hui sa carrière et sa vie d’épouse et de maman de front.

Consciente de la notoriété qu’elle a pu acquérir en tant que mannequin international, elle a décidé d’utiliser son image au service de l’écologie.

En 2009, Miranda posait nue en couverture du magazine Rolling Stone, enchaînée à un arbre dans le but de défendre la cause des Koalas dont la population diminue sans cesse et dont l’habitat naturel est régulièrement détruit par l’Homme en Australie.

Le mannequin a également été choisi pour devenir l’ambassadrice mondiale de Earth Hour 2011 par WWF. Son rôle ? Inciter le monde à éteindre la lumière pendant une heure et en même temps. En France, la prochaine opération aura lieu le 31 mars 2012, de 20h30 à 21h30.

Et Miranda Kerr de déclarer à ce propos : « Cette année, je ferais plus qu’éteindre la lumière pendant une heure. Je continuerai à recycler et à consommer des produits bio fabriqués par des paysans locaux afin de réduire les pesticides et insecticides utilisés et ainsi réduire mon empreinte carbone ».

Une ligne de cosméto bio !

Miranda Kerr a également mis au point sa propre ligne de cosméto bio, baptisée KORA Organics. Pour la belle, il s’agissait simplement du prolongement de son mode de vie écolo.

Au programme, des produits pour tous les types de peaux, pour les mains, le corps, à base de plantes et d’ingrédients bio.

Au niveau des ingrédients, du Noni, du quartz, des sels aux vertus spécifiques, des huiles naturelles. Et quand on voit la beauté de Miranda, cela donne envie. Seul petit point noir, le prix ! A près de 150$ les trois produits spécifiques à notre peau, cela revient cher !

Aujourd’hui, Orlando Bloom est indissociable de sa belle, d’autant que les deux amoureux sont particulièrement investis dans la protection de l’environnement. Et pour cela, consoGlobe attribut au couple la note de : 16/20

Source : Consoblog

Orlando Bloom : Ses confessions sur son rôle dans "Les Trois Mousquetaires"

2011-10-17T17:28:00+01:00

Orlando Bloom sera bientôt à l'affiche du film Les Trois Mousquetaires et semble ravi de vivre cette toute nouvelle expérience.

Lors d'une récente interview au Huffington Post, le bel Orlando Bloom s'est confié sur son nouveau rôle dans le film d'action Les Trois Mousquetaires. "Je ne sais pas comment tout ceci est arrivé. Je n'aurais jamais pu prévoir ça", a révélé l'acteur qui n'arrive pas à croire qu'il est devenu l'un des acteurs qui attire le plus de spectateurs dans les salles de cinémas.

Même s'il n'a rien vu venir, Orlando peut être fier d'avoir réussi à se hisser au rang d'acteur internationalement réputé. Grâce à ses rôles dans Le Seigneur des Anneaux et Pirates des Caraïbes, deux des plus grosses franchises de ces dix dernières années, Orlando s'est fait un nom que l'on n'est pas près d'oublier. Une fois encore, il risque de faire parler de lui dans Les Trois Mousquetaires en 3D de Paul W S Anderson. "Ce qui est intéressant pour moi dans ce film est que je vais incarner un mauvais garçon. Je ne serai pas l'un des mousquetaires, contrairement à ce que tout le monde aurait pu attendre. J'incarne en effet le Duc de Buckingham qui a un petit côté voyou", a révélé Orlando lors de son interview, à Londres.

"Le Duc représentait le pouvoir de l'Empire Britannique, il était très apprécié du Roi, il avait donc beaucoup de liberté. Il était très riche et n'hésitait pas à le montrer avec de beaux costumes, de hauts talons, des perles, c'était donc plutôt amusant d'entrer dans son personnage. J'aime bien travailler sur des scripts forts, en lesquels je crois. J'aime me lever le matin en sachant que je vais m'éclater et me dépasser. Paul, le réalisateur des Trois Mousquetaires, voulait que les personnages se sentent comme les stars du rock de leur époque. Je me suis tout de suite comparé à David Bowie", a ajouté Orlando.

Source : News-de-stars